
PIÉTÉ
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DOCTRINE
La doctrine catholique
Abbé Boulenger
PRÉFACE À LA PREMIÈRE ÉDITION
Ce « Manuel d'Instruction religieuse» est destiné aux Maisons d'éducation et aux Catéchistes volontaires. En le présentant au public, nous n'avons pas la prétention de croire que nous avons fait mieux que nos devanciers ; nous n'avons que le mérite, ou peut-être le tort — nos lecteurs apprécieront — d'avoir fait autrement.
Sans nul doute « la vérité est éternelle et invariable comme Dieu même, qui seul la possède et la comprend tout entière. Mais si elle ne change pas dans sa nature, elle doit être diversement dispensée : les devoirs comme les besoins varient suivant les époques et les pays. C'est pourquoi les livres qui ont pu être excellents au moment où ils furent publiés, deviennent ensuite insuffisants ; des questions nouvelles que ne connaissaient pas nos ancêtres, se posent dans nos sociétés si complexes et si instables. » Ces paroles de Mgr Parisis, que nous ignorions d'ailleurs en entreprenant cet ouvrage, justifient pleinement notre tentative : dispenser diversement la vérité religieuse et traiter les questions nouvelles.
Choix de méditations sacerdotales
Abbé Jean-Baptiste Aubry
CHAPITRE PREMIER
L'œuvre de la grâce dans les âmes,
I
IDÉE CHRÉTIENNE DE LA VIE HUMAINE CONSIDÉRÉE DANS SA BRIÈVETÉ
L'Écriture, soit dans l'Ancien, soit dans le Nouveau Testament, ne cesse de nous inculquer l'idée de la vie humaine, par la comparaison d'un voyage rapide et qui doit être bientôt fini, pour nous rappeler sa brièveté.
Essai sur la méthode des études ecclésiastiques en France (Tome 1)
Abbé Jean-Baptiste Aubry
Préface.
L'étude que nous publions aujourd'hui fut composé par le Père Aubry, à l'occasion de la promotion du R. P. Franzelin à la pourpre cardinalice. Entreprise sur les instances de plusieurs de ses amis, et adressée, sous forme de lettre, à un religieux de la Compagnie de Jésus, elle ne devait être primitivement q'une esquisse de la théologie de cet illustre maître, elle est devenue un ouvrage considérable, dont l'exposé de la méthode du cardinal Franzelin forme le couronnement.
Essai sur la méthode des études ecclésiastiques en France (Tome 2)
Abbé Jean-Baptiste Aubry
CHAPITRE PREMIER.
DIFFICULTÉS, ESSAIS, NÉCESSITÉ d'une RESTAURATION des ÉTUDES SACRÉES dans nos GRANDS SÉMINAIRES,
Le gallicanisme pratique. Théorie libérale du PROGRÈS DOCTRINAL. Sécularisation de l'intelligence publique. Rôle des séminaires dans la nation. L'idée romaine des études est PRATIQUE. Le concile du Puy et les OBSERVATIONS de Mgr Capri. Prétendue infériorité des intelligences contemporaines et théorie du découragement. Le premier clergé du monde. Les essais de réforme : Le retour PRATIQUE aux idées romaines. Manque d'unité dans la direction des études. L'esprit de controverse. L'œuvre du Séminaire français à Rome.
La doctrine du Corps Mystique de Jésus-Christ
Abbé Joseph Anger
Le Corps Mystique du Christ est cette réalité une et vivante, issue de la Rédemption opérée par le Verbe Incarné ; c’est la société que forment le Christ et l’Église, l’un étant la Tête, l’autre le Corps ; l’un étant l’Époux, l’autre l’Épouse.
Exposé de la doctrine catholique (Tome 1)
Abbé Paul Girodon
AVANT-PROPOS
Mon intention est de faire un exposé, aussi complet et aussi méthodique que possible, de la doctrine catholique. J'ai toujours été frappé de l'inutilité des réfutations et des controverses . Chose singulière , elles profitent surtout aux chrétiens déjà convaincus; les autres les lisent peu , et quand ils les lisent, ils n'y trouvent que la solution de quelques difficultés de détail.
Exposé de la doctrine catholique (Tome 2)
Abbé Paul Girodon
LIVRE SECOND -L'INCARNATION ET SES CONSÉQUENCES .
Nous abordons maintenant un monde nouveau, une création complète, plus belle et plus riche que la première. Tous les préambules sont exposés, les fondements sont établis il s'agit de montrer l'édifice proprement dit du christianisme, Jésus- Christ et son œuvre parmi les hommes.
Les indulgences, leur origine, leur nature, leur développement (Tome 1)
Cardinal Alexis-Marie Lépicier O. S. M.
Les œuvres de Dieu telles qu elles sortent de ses mains, sont parfaites. On peut dire de Jésus-Christ comme Dieu et de toutes ses œuvres ce que les foules disaient de Jésus comme homme alors qu'il ouvrait les oreilles et déliait la langue du sourd-muet : « Il a bien fait toutes choses ».
Les indulgences, leur origine, leur nature, leur développement (Tome 2)
Cardinal Alexis-Marie Lépicier O. S. M.
Parmi les merveilleuses découvertes des sciences expérimentales au cours de ce siècle, l'esprit humain s'est particulièrement attaché à mettre en lumière l'évolution qui existe dans le règne de la création animée, et qui va de l'imparfait au parfait, de l'état informe à un état d'accroissement et jusqu'à l'entier développement de l'être.
Manuel des confesseurs
Mgr Jean-Joseph Gaume
CHAPITRE PREMIER
DEVOIRS ET QUALITÉS D?UN BON CONFESSEUR COMME PÈRE, COMME MÉDECIN, COMME DOCTEUR ET COMME JUGE.
Qu'elle sera grande dit SAINT ALPHONSE DE LIGUORI, la récompense des bons confesseurs qui s'emploient à la conversion des âmes !
leur salut estassuré. L'apôtre saint Jacques nous l'apprend quand il dit : Qui converti fecerit peccatorem ab errore viœ suœ, salvabit animant ejusa morte, et operiet multitudinem peccatorum. Son âme, c'est-à-dire l'âme de celui qui convertit, comme porte le texte grec. Mais l'Église est dans les larmes en voyant un si grand nombre de ses enfants perdus à cause des mauvais confesseurs. En effet, c'est principalement de la bonne ou de la mauvaise direction des confesseurs que dépend le salut ou la damnation des peuples. Dentur idonei confessarii, disait le pape saint Pie V, ecce omnium christianorum plena reformatio. C'est une vérité; si l'on trouvait dans tous les confesseurs la science
et la sainteté qui conviennent à un si grand ministère, le monde ne serait pas, comme il est, souillé d'iniquités, ni Tenter rempli de tant d'âmes.
Traité du Saint-Esprit (Tome 1)
Mgr Jean-Joseph Gaume
INTRODUCTION
I
Cet ouvrage a pour but de faire connaître ,autant qu'il dépend de nous , la troisième Personne de la Sainte Trinité, en elle-même et dans ses ses œuvres. Plusieurs motifs nous ont déterminé à l'entreprendre.
Le premier, c'est la gloire du Saint - Esprit. Dieu étant la charité par essence, toutes ses œuvres sont amour. Créer, c'est aimer; conserver, c'est aimer; racheter, c'est aimer; glorifier, c'est aimer. Or, le Saint-Esprit est l'amour consubstantiel du Père et du Fils . Il est donc dans toutes leurs au les deux autres Personnes de l'auguste Trinité se mettent , pour ainsi parler, en contact avec le monde. De là, ce mot de saint Thomas : « Le Saint-Esprit est le premier don de Dieu. » Et cet autre mot de saint Basile : « Tout ce que possèdent dans l'ordre de la nature, aussi bien que dans l'ordre de la grâce, les créatures du ciel et de la terre, leur vient du Saint- Esprit. »
Traité du Saint-Esprit (Tome 2)
Mgr Jean-Joseph Gaume
CHAPITRE PREMIER
DIVINITÉ DU SAINT-ESPRIT
Existence de Dieu . - Preuves et nécessité de ce dogme. – Dieu, c'est la Trinité . — Prouver le dogme de la Trinité , c' est prouver la divinité du Saint Esprit. — Développements . – Preuves indirectes de la Trinité : la notion de l'être, les créatures matérielles et les créatures raisonnables. - Nécessité et influence de ce dogme.
Dieu , la Trinité, la divinté du Saint-Esprit ! Dans la langue de la révélation comme dans la foi des peuples, ces trois vérités sont tellement unies, que la certitude de la première implique la certitude des deux autres. Or Dieu existe avec tous les attributs qu 'adore le genre humain.
onférences sur les Doctrines et les pratiques les plus importantes de l'Eglise Catholique
Mgr Nicholas Patrick Wiseman
Certes, la première cause de ruine pour l'erreur est dans sa propre nature. L'erreur n'existe point par elle-même, elle n'existe que parce qu'elle nie , elle n'a qu'une vie négative ; elle est la négation de ce qui est, ou l'affirmation de ce qui n'est pas ; l'affirmation du néant ou la négation de l’être : ainsi elle tient toujours, par l'un ou l'autre bout, au néant qui est sa source et qui doit être son terme. Si l'erreur et la vérité se trouvaient face à face, sans intermédiaires, la lutte ne saurait être longue, ni l'issue de la lutte douteuse ; ou plutôt il n'y aurait pas de lutte, il ne saurait pas plus y en avoir entre l'erreur et la vérité qu'entre la nuit et la lumière.
Nos raisons de croire
Révérend Père Désiré Lodiel, S. J.
Par les lumières de sa raison, l'homme peut connaitre un grand nombre de vérités de l'ordre intellectuel et moral; il peut établir avec certitude l'existence d'un Dieu personnel, intelligent, qui a créé le monde et le gouverne par sa providence. Non seulement, il voit avec évidence la différence du bien et du mal, mais il se sent obligé par une loi morale, et, parmi ses devoirs, il découvre sans peine celui d'honorer Dieu, son principe et sa fin : voilà ce que proclame et ce que prouve toute philosophie vraiment rationnelle.
La grâce de Dieu et l'ingratitude des hommes
Révérend Père Emmanuel
I - Gratuité de la grâce.
Au mois de novembre 1894, mourait à Paris un universitaire quelque peu fameux, M. Victor Duruy. Il n’était pas croyant ; mais il paraît que sur ses derniers jours, il se réconcilia avec Dieu, et m ourut chrétiennement. A ce sujet, un journal catholique, de Paris, ce qui n’est pas peu dire, écrivit ce qui suit :
« Nous apprenons que M. Victor Duruy a eu le bonheur, au cours de sa maladie, de mettre sa conscience en règle avec Dieu.
« Cette grâce de la fin est, sans doute, la récom pense des vertus naturelles d’un hom m e à qui il m anquait d’avoir la foi. »
Il y a deux siècles, ces quelques lignes auraient mis en émoi la France chrétienne tout entière : m ille voix se seraient élevées pour défendre la grâce de Dieu si violemment outragée : aujourd’h u i... tout se dit, tout passe.
Nous nous permettons d’élever notre faible voix, et de rappeler à cette occasion à nos lecteurs les notions les plus élémentaires du catéchisme.
Le Chrétien du jour et le Chrétien de l'Évangile
Révérend Père Emmanuel
I. - Introduction.
Quand, à la lumière de la foi, on considère attentivement l’état des âmes à l’heure présente, on a sous les yeux le spectacle le plus inimaginable qui puisse être. La multitude des âmes qui dem eurent encore dans les ténèbres de l’infidélité est à elle seule épouvantable, mais nous aurons assez de sujets de frayeur en nous bornant à considérer l’état des hommes baptisés, aujourd’hui existants sur toute la terre.
Il y a chrétiens et chrétiens. Le chrétien complet, ou comme dit le catéchisme, le parfait chrétien est celui qui demeure ce que l’ont fait les sacrements de Baptême, de Confirmation et d’Eucharistie. Enfant de Dieu, soldat de Jésus-Christ, tabernacle vivant du Dieu sauveur, le vrai chrétien va à Dieu d’un pas assuré ; il passe en ce monde, il a le cœur en l’autre. Enfant de Dieu, il est de la maison de son Père : soldat de Jésus-Christ , il marche le front haut, vainqueur du monde, et de la chair, et de Satan : nourri de l’Eucharistie, il vit de la vie de son Sauveur, il la continue en ce m onde, la prolonge sur la terre, jusqu’au jour où il jouira pleinem ent de Dieu dans le ciel - ce chrétien-là est le chrétien de l ’Evangile.
Le Naturalisme
Révérend Père Emmanuel
LE NATURALISME
I. - LE NATURALISME THÉORIQUE
I. - Etat vrai de rhumanité. — Ce qu’est le naturalisme. — Naturalisme matérialiste, naturalisme spiritualiste.
I.
La foi nous enseigne que la nature humaine fut élevée à un état surnaturel par les grâces que Dieu se plut à verser sur nos premiers parents. 11 voulut, en effet, qu’ils fussent, non seulement ses créatures, mais ses amis. Il leur donna la foi, l’espérance, la charité, trésors infiniment précieux, par lesquels les hommes auraient à mériter des biens plus précieux encore, un bonheur infini dans le sein de Dieu même.
Ce que Dieu donna à Adam, il le destina à tous ses enfants, lesquels devaient recevoir du même coup la nature et la grâce.
Ce plan magnifique de Dieu fut dérangé par le péché d’Adam : et depuis, tous ses enfants reçoivent de lui la nature, mais la nature dépouillée de la grâce, la nature entachée du péché, la nature détériorée et quant au corps et quant à l’âme : quant au corps, car il est devenu sujet aux maladies et à la mort : quant à l’âme, car elle est assujettie à l’ignorance, à la concupiscence, et finalement à la mort éternelle.
Les deux Cités
Révérend Père Emmanuel
INTRODUCTION
La morale.
La morale est la science qui doit régler les mœurs : définir la morale, c’est démontrer son indispensable nécessité. Il n’y a pas là-dessus de contestation : tous les hommes reconnaissent la nécessité de la morale. Mais quand il s’agit d’en venir au fait, tous ne tombent pas d’accord sur le point d’où la morale devra tirer sa règle et sa sanction.
Pourtant, si l’on voulait réfléchir, il ne serait pas difficile de reconnaître que la morale, ensemble des lois qui s’imposent à l’humanité tout entière, ne peut être que l’expression de la volonté de Celui qui a créé l’humanité et lui a assigné les lois de sa conduite et les moyens par lesquels elle peut arriver à sa fin.
D’où il suit que sans Dieu, il n’y a pas de morale digne de ce nom.
OpuscuIes Doctrinaux
Révérend Père Emmanuel
INTRODUCTION
1.
En notre siècle, on a beaucoup parlé d’instruction, et même d’instruction publique, et même d’instruction obligatoire. Mais il est un point essentiel, sur lequel, le plus souvent, on n’a porté qu’une attention superficielle. On ne s’est pas demandé avant tout qui l’on avait à enseigner. La chose cependant en valait la peine. Car généralement, si ce n’est universellement, les sujets que l’on a à enseigner, sont des sujets baptisés. Des sujets baptisés ! qu’est-ce à dire ? Cela veut dire qu’un enfant baptisé ayant reçu de Dieu à son baptême des grâces qui ont puissamment modifié les conditions de son intelligence, il faut, de ce fait, tenir le plus grand compte quand on veut parler à cette intelligence ainsi modifiée.
Exposition de la morale catholique (Tome 1)
Révérend Père Marie Albert Janvier
La foi - son objet et ses actes
Les vertus sont de deux sortes : les vertus théologales et les vertus cardinales. La première des vertus théologales, c'est la foi. Cette première conférence a pour but de déterminer l'objet de la foi et le motif qui nous fait croire.
Exposition de la morale catholique (Tome 10)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale X
La vertu de force
La force est la fermeté de l'âme. Toute vertu suppose de la fermeté, car toute vertu est un penchant qui, par suite de l'habitude, nous entraîne impétueusement et malgré les obstacles vers son objet.
Exposition de la morale catholique (Tome 11)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale XI
La vertu de tempérance
En tout ordre et à tout propos, la tempérance nous ramène au juste milieu fixé par la sagesse, elle nous arraclie aux folles joies et aux folles douleurs, elle étend le règne de la raison et de l'Evangile aux puissances les plus aveugles et les plus libelles de la nature, elle répand de la beauté dans nos œuvres. elle est la gardienne de l'honneur.
Exposition de la morale catholique (Tome 12)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale XII
La vertu de tempérance II
La mansuétude
La mansuétude est une vertu. Le nom de vertu morale est dû aux perfections qui règlent comme il convient, l'emploi des passions. Exemple de la force qui retient dans les bornes la peur et audace.
Exposition de la morale catholique (Tome 2)
Révérend Père Marie Albert Janvier
La foi II
La vertu de foi et les vices qui lui sont opposés
Avant tout, la foi est la puissance intellectuelle parvenue en cette vie à sa plénitude. L'intelligence arrive, en effet, à sa plus haute expression quand elle peut s'attacher à l'infini.
Sans la foi, l'homme reste enfermé dans la nature.
Exposition de la morale catholique (Tome 3)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale III
L'espérance
Nom aimable de la seconde vertu théologale. Puissance des espérances issues de la nature. Supériorité de l'espérance chrétienne dont la noblesse se mesure d'abord à la sublimité des perspectives qu'elle ouvre au cœur. Comment l'homme moderne a offensé cette vertu.
Exposition de la morale catholique (Tome 4)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale IV
La. charité I - Sa nature et son objet
Chez les païens, l'on craignait la Divinité, on ne l'aimait pas. La vraie Religion, au contraire a toujours mis l'amour de Dieu au premier rang. Cependant la terreur avait encore une grande place dans l'Ancien Testament. Le propre de l'Évangile a été de faire régner sur tous les autres sentiments l'amour que nous appelons la charité. La charité est l'amitié de l'homme avec Dieu. L'amitié suppose un amour où la bienveillance est souveraine La charité contient ce premier élément de l'amitié.
Exposition de la morale catholique (Tome 5)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale V
La. charité I - Ses effets
Toute vertu exerce une heureuse influence. Cette influence est proportionnée à la perfection de la vertu. Reine des vertus, la charité, dans l'homme qui la possède, s'affirme, au dedans, par des effets merveilleux, et, au dehors, par des œuvres incomparables.
Exposition de la morale catholique (Tome 6)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale VI
La charité III - Sentiments et actes contraires à cette vertu
Toute vertu exerce une heureuse influence. Cette influence est proportionnée à la perfection de la vertu. Reine des vertus, la charité, dans l'homme qui la possède, s'affirme, au dedans, par des effets merveilleux, et, au dehors, par des œuvres incomparables.
Exposition de la morale catholique (Tome 7)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale VII
La prudence chrétienne
Action sanctificatrice de la grâce dans l'âme. Rôle des vertus théologales : rôle des autres vertus chrétiennes que l'on appelle les vertus morales. Supériorité de ces dernières sur les vertus purement humaines. Leur origine, leur essence, leur but. Leur nombre et leur enchainement. Elles te rattachent toutes aux vertus cardinales, dont la première est la prudence.
Exposition de la morale catholique (Tome 8)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale VIII
La justice et le droit
La justice est la plus haute des vertus purement morales. Exagération de nos contemporains qui la mettent au-dessus de la charité. Grandeur du rôle rempli par la justice. Deux sens du mot justice : dans son premier sens, ce mot signifie la réunion de toutes les qualités morales ou religieuses. Dans son second sens, il désigne une disposilion constante et perpétuelle de la volonté qui nous presse d'accorder à chacun son droit.
Exposition de la morale catholique (Tome 9)
Révérend Père Marie Albert Janvier
Morale spéciale IX
La justice envers Dieu
Nul n'est juste, s'il ne l'est envers Dieu. La justice envers Dieu, c'est la religion. La religion est la ferme et habituelle volonté de rendre à Dieu le culte qui lui appartient. Elle a Dieu pour terme et le eu te de Dieu pour object.
Nous devons un culte à Dieu, Etre parfait, Maître absolu, Principe de tout bien.
Précis de la doctrine catholique
Révérend Wilhelm Wilmers
Ce livre est destiné à tous les esprits cultivés, croyants ou incrédules, qui cherchent en peu de pages l'exposition précise et les preuves des vérités enseignées par la théologie catholique. Tout en étant plus court que certains catéchismes, ce précis est cependant plus complet ; c'est un ouvrage d'un autre ordre. Le catéchiste peut se conten ter d'enseigner les dogmes, le théologien doit en établir la preuve, les défendre contre les malentendus de l'ignorance et les objections de l'hérésie ou de la mauvaise foi, en montrer l'enchaînement, les rapports et les conséquences.
Les sept dons de l'Esprit-Saint
Souvenir de confirmation
La dévotion au Saint-Esprit est généralement peu connue, peu pratiquée, peu goûtée ; et cependant elle est une des plus essentielles au développement de la vie chrétienne. On peut affirmer que, sans cette dévotion , il n'est pas plus possible à l'âme de progresser dans les voies surnaturelles, qu'il ne l'est au navire d'avancer sans le vent qui enfle ses voiles.