
PIÉTÉ
Notre Bibliothèque propose toute une variété d'ouvrages, de tous types d'auteurs et tous genres. Jetez un œil à nos ouvrages ci-dessous, et parcourez nos collections pour trouver ce qui vous plaira ou découvrir quelque chose de nouveau.

ANTI-LIBÉRALISME
Études sur l'américanisme. Le Père Hecker est-il un saint
Abbé Charles Maignen
Dans ce livre, l'abbé Charles Maignen analyse et critique l'américanisme, un courant catholique porté par le père Isaac Hecker aux États-Unis. Il reproche à ce mouvement de privilégier l'action individuelle et l'adaptation au monde moderne au détriment de la contemplation et de l'orthodoxie catholique. Maignen voit dans l'américanisme une menace pour la foi, notamment à cause de son pluralisme politique et de son libéralisme. Il questionne la sainteté de Hecker, figure centrale du courant, estimant que ses idées s'écartent de la tradition. L'ouvrage reflète les tensions entre catholicisme traditionnel et modernité à la fin du XIXe siècle. Publié en pleine controverse, il contribue au débat qui mène à la condamnation de l'américanisme par le pape Léon XIII dans Testem Benevolentiae. Maignen défend une vision rigoriste, opposée à tout compromis doctrinal.
Les erreurs sociales du temps présent
Abbé Elie Méric
Les erreurs sociales du temps présent de l'abbé Élie Méric critique les idéologies modernes, comme le socialisme et le laïcisme, qui, selon lui, s'éloignent des valeurs chrétiennes. Il défend la morale catholique, la famille traditionnelle et l'autorité, en dénonçant les dérives du libéralisme et de l'anticléricalisme. L'ouvrage met en garde contre les conséquences de ces "erreurs sociales" sur la société et la religion. Méric y plaide pour un retour aux principes moraux chrétiens face aux bouleversements politiques et culturels de son époque.
Cas de conscience, les catholiques français et la République
Abbé Emmanuel Barbier
Dans son ouvrage de 1906, l'abbé Emmanuel Barbier examine la tension entre les catholiques français et la République. Il s’interroge sur la compatibilité entre les principes catholiques et l’engagement politique dans un régime laïc. Barbier critique le ralliement prôné par Léon XIII, y voyant un risque de compromission avec le libéralisme. Il soutient que les catholiques doivent privilégier leur foi sur les exigences républicaines. L’ouvrage reflète les débats de l’époque sur la laïcité et l’influence de l’Église. L'Abbé Barbier, défend une position intransigeante face à la modernité. Son analyse s’appuie sur une distinction entre morale catholique et action politique. Ce livre marque son opposition au modernisme et à la sécularisation croissante.
Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France (Tome 1)
Abbé Emmanuel Barbier
Dans son ouvrage de 1919, l’abbé Emmanuel Barbier analyse l’émergence du catholicisme libéral et social en France. Il critique ces courants pour leur tentative de concilier la foi avec les idées modernes, notamment le libéralisme et la démocratie. Barbier voit dans ces mouvements une menace pour l’orthodoxie catholique, accusant leurs promoteurs de diluer la doctrine traditionnelle. Il retrace leur développement historique, soulignant leurs racines dans les bouleversements post-révolutionnaires.
Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France (Tome 2)
Abbé Emmanuel Barbier
Dans le second tome de son ouvrage de 1919, l’abbé Emmanuel Barbier poursuit son examen du catholicisme libéral et social en France, se concentrant sur leur évolution au XIXe siècle. Il critique plus spécifiquement les figures et mouvements qui cherchent à réconcilier l’Église avec les idéaux républicains et sociaux, comme Lamennais ou les Sillonistes. Barbier dénonce leur influence, qu’il juge corrosive pour la doctrine catholique, en raison de leur acceptation du pluralisme et de la laïcité. Il analyse les conflits entre ces courants et l’autorité pontificale, notamment sous Pie IX. Ce tome approfondit les tensions entre catholicisme et modernité politique. L'Abbé Barbier insiste sur les dérives du catholicisme social face aux encycliques. Son travail vise à préserver l’orthodoxie contre les réformes progressistes.
Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France (Tome 3)
Abbé Emmanuel Barbier
Dans le troisième tome de son ouvrage de 1920, l’abbé Emmanuel Barbier se focalise sur l’évolution du catholicisme libéral et social en France à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. Il examine les tensions croissantes entre ces courants et l’Église, notamment autour du ralliement à la République prôné par Léon XIII. L'abbé Barbier critique les catholiques libéraux pour leur acceptation des principes démocratiques et laïques, qu’il juge incompatibles avec la doctrine traditionnelle. Il analyse les mouvements comme le Sillon de Marc Sangnier, dénonçant leur autonomisme et leur modernisme. Ce tome met en lumière les débats autour de la crise moderniste. Il souligne les condamnations pontificales, comme celle du Sillon en 1910. L’ouvrage vise à défendre une Église inflexible face aux évolutions sociales.
Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France (Tome 4)
Abbé Emmanuel Barbier
Dans le quatrième tome de son ouvrage de 1921, l’abbé Emmanuel Barbier approfondit son étude du catholicisme libéral et social en France, en se concentrant sur les premières décennies du XXe siècle. Il analyse les développements postérieurs à la crise moderniste, notamment l’impact des condamnations pontificales sur des mouvements comme le Sillon. Barbier critique les catholiques qui soutiennent la laïcité et les réformes sociales, les accusant de compromettre la doctrine catholique. Il examine les efforts pour concilier foi et démocratie, qu’il juge dangereux pour l’Église. Ce tome explore les relations entre catholiques et République après la séparation de 1905. L' Abbé Barbier met en lumière les résistances à l’autorité ecclésiastique parmi les libéraux. Son analyse vise à dénoncer les dérives modernistes persistantes. L’ouvrage défend une vision traditionaliste face aux évolutions sociopolitiques.
Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France (Tome 5)
Abbé Emmanuel Barbier
Dans le cinquième tome de son ouvrage de 1922, l’abbé Emmanuel Barbier conclut son analyse du catholicisme libéral et social en France, se focalisant sur les années précédant et suivant la Première Guerre mondiale. Il examine les efforts persistants des catholiques libéraux pour concilier foi et principes républicains, critiquant leur acceptation croissante de la laïcité. L'Abbé Barbier scrute les initiatives sociales catholiques, dénonçant leur éloignement de la doctrine traditionnelle au profit d’idées modernistes. Ce tome explore les tensions post-séparation de 1905 et les débats sur le rôle de l’Église dans une société sécularisée. Il analyse l’influence des encycliques de Pie X contre le modernisme. Barbier met en garde contre les compromissions avec le libéralisme politique. Son travail vise à préserver l’orthodoxie face aux transformations culturelles.
Histoire du catholicisme libéral et du catholicisme social en France (table analytique)
Abbé Emmanuel Barbier
Avertissement.
La table analytique d'un ouvrage qui embrasse l'histoire de près de cinquante années et la traite en cinq gros volumes ne comporte pas un index alphabétique absolument complet de tous les noms de personnages, de tous les litres de livres ou de périodiques qui y sont cités, car il en serait inutilement alourdi. On y trouvera du moins ceux qui offrent le plus d'intérêt, surtout à cause des documents très nombreux contenus dans cet ouvrage et qui se rapportent à ces noms.
Le progrès du libéralisme catholique en France sous le pape Léon XIII (Tome 1)
Abbé Emmanuel Barbier
L'ouvrage analyse l'essor du libéralisme catholique en France sous le pontificat de Léon XIII (1878-1903). L'auteur, un prêtre jésuite, critique l'influence des idées libérales sur l'Église, notamment celles prônant une conciliation entre catholicisme et principes modernes comme la démocratie ou la liberté individuelle. Il examine les débats théologiques et sociaux, ainsi que les tensions entre traditionalistes et progressistes. À travers une approche historique, il documente les événements et figures clés de cette période. Son ton est polémique, reflétant son engagement antilibéral. Le livre s'inscrit dans une réflexion plus large sur la place de l'Église dans la modernité.
Le progrès du libéralisme catholique en France sous le pape Léon XIII (Tome 2)
Abbé Emmanuel Barbier
Le deuxième tome prolonge l'analyse de l'essor du libéralisme catholique en France sous Léon XIII (1878-1903). L'abbé Barbier se concentre sur les mouvements sociaux et ecclésiaux, comme le Sillon de Marc Sangnier, qu'il critique pour son rapprochement avec des idées démocratiques et modernistes. Il explore les congrès catholiques et les débats autour de la question sociale, notamment l'encyclique Rerum Novarum. L'Abbé Barbier dénonce l'influence de figures comme l'abbé Lemire, perçues comme trop progressistes. Son récit documente les tensions entre l'Église et l'État républicain. Le tome met en lumière les résistances traditionalistes face aux réformes. Il conclut sur une mise en garde contre l'érosion de la doctrine catholique.
Les Démocrates Chrétiens et le Modernisme
Abbé Emmanuel Barbier
L’ouvrage de l’abbé Emmanuel Barbier, publié en 1908, examine les liens entre la démocratie chrétienne et le modernisme, condamné par l’encyclique Pascendi de Pie X. L'Abbé Barbier critique les démocrates chrétiens, notamment Marc Sangnier et le Sillon, pour leur tentative de réconcilier foi catholique et idées modernes comme la démocratie et la liberté de conscience. Il accuse ces mouvements de s’égarer vers l’hérésie moderniste en diluant la doctrine traditionnelle. À travers une analyse historique et théologique, il documente congrès et publications pour démontrer leur influence. Son ton est virulent, visant à démasquer ce qu’il considère comme une menace pour l’Église.
Les erreurs du Sillon
Abbé Emmanuel Barbier
L’ouvrage, publié en 1906, analyse les dérives du Sillon, mouvement catholique fondé par Marc Sangnier. L’abbé Barbier critique son orientation vers la démocratie chrétienne, qu’il juge incompatible avec la doctrine catholique traditionnelle. Il reproche au Sillon de promouvoir des idées libérales, comme l’égalité sociale et la liberté individuelle, au détriment de l’autorité ecclésiale. Barbier examine les discours et actions du mouvement, y voyant une menace moderniste. Il s’appuie sur des documents et déclarations pour étayer ses accusations. Il préfigure la condamnation du Sillon par Pie X en 1910.
La liberté de conscience
Abbé Guillaume Canet
Publié en 1891 ce livre explore la liberté de conscience à travers les encycliques de Léon XIII. Il retrace son origine historique, sa nature théologique et son application dans les sociétés modernes. Canet défend une vision catholique, soulignant que la vraie liberté repose sur l’adhésion à la vérité divine, non sur l’autonomie individuelle. Il critique les interprétations libérales qui, selon lui, mènent à l’erreur. L’auteur analyse les tensions entre Église et État, notamment sous la Troisième République. Son argumentation s’appuie sur des textes pontificaux pour rejeter le relativisme. Le style est érudit, visant un public clérical et intellectuel.
La libre-pensée contemporaine
Abbé Guillaume Canet
Le livre publié en 1895, analyse la libre-pensée contemporaine, courant intellectuel prônant la raison indépendante de la religion. L'Abbé Canet critique son influence croissante sous la Troisième République, la voyant comme une menace pour la foi catholique. Il examine ses racines historiques, ses figures clés et ses manifestations dans la société française. L’auteur défend que la véritable liberté intellectuelle repose sur l’adhésion à la vérité divine. À travers une approche théologique, il dénonce le relativisme et le matérialisme des libres-penseurs. Son style est argumentatif, mêlant érudition et polémique. L'Abbé Canet appelle à une résistance spirituelle face à cette idéologie.
Catéchisme sur le modernisme d'après l'Encyclique Pascendi Dominici Gregis de S.S. Pie X
Abbé J.B. Lemius
Publié en 1908, cet ouvrage de l’abbé J.B. Lemius explique le modernisme, condamné par l’encyclique Pascendi de Pie X. Structuré comme un catéchisme, il présente les erreurs modernistes, accusées de relativiser la doctrine catholique en faveur de la raison et de l’expérience individuelle. L'Abbé Lemius détaille les idées modernistes sur la Révélation, l’Église et l’autorité, les qualifiant d’hérétiques. Il s’adresse aux fidèles pour clarifier la position pontificale. Le ton est didactique, visant à former clergé et laïcs. L’auteur insiste sur l’obéissance à l’enseignement traditionnel. Ce texte sert de guide pratique contre les influences progressistes.
Les Nations frémissantes contre Jésus-Christ et son Église
Abbé Joseph Lemann
Paru en 1887, l’ouvrage de l’abbé Joseph Lémann examine l’opposition croissante des nations modernes à l’Église catholique et à Jésus-Christ. L’auteur analyse les mouvements révolutionnaires, laïcistes et anticléricaux, qu’il perçoit comme une rébellion contre l’ordre divin. Il retrace leurs origines dans les idéaux des Lumières et de la Révolution française. L'Abbé Joseph Lémann dénonce la sécularisation et le libéralisme, accusés d’affaiblir la foi. Son style, fervent et apologétique, s’adresse aux catholiques pour les exhorter à résister. Il s’appuie sur l’Écriture et l’histoire pour étayer ses arguments.
Incartades libérales de quelques auteurs Catholiques, laïques, prêtres, et religieux, signalées au Concile Œcuménique
Abbé Jules Morel
Rédigé en 1869, ce livre de l’abbé Jules Morel dénonce les écarts libéraux de certains auteurs catholiques, laïcs et clercs, à l’approche du Concile Vatican I. Il critique leurs tentatives de concilier la foi avec des idées modernes, jugées contraires à la doctrine traditionnelle. Morel cible des écrits qu’il estime trop favorables à la liberté de conscience ou au progrès séculier. Son ton est incisif, visant à alerter les autorités ecclésiastiques. Il s’appuie sur des exemples précis pour illustrer ses accusations.
Inquisition et libéralisme, avis doctrinal soumis à MM. Louis Veuillot, Albert Du Boys et le Cte de Falloux
Abbé Jules Morel
Dans Inquisition et libéralisme, l'abbé Jules Morel adresse un avertissement doctrinal à Louis Veuillot, Albert Du Boys et le comte de Falloux, trois figures influentes du catholicisme français. Publié en 1869, ce texte critique le libéralisme, qu'il oppose aux principes de l'Inquisition, symbolisant pour lui la fermeté doctrinale de l'Église. Morel reproche à ces auteurs d'adopter des positions trop conciliantes avec les idées modernes, notamment la liberté religieuse et la tolérance. Il appelle à un rejet total du libéralisme, qu'il considère comme incompatible avec la tradition catholique authentique.
Les catholiques libéraux
Abbé Jules Morel
Ce livre publié en 1873 est une critique du catholicisme libéral, qui est une forme de catholicisme qui cherche à combiner les principes du catholicisme avec les principes du libéralisme.
Morel argumente que le catholicisme libéral est une contradiction dans les termes, car les principes du catholicisme et du libéralisme sont incompatibles. Il soutient que le catholicisme libéral est une menace pour l'Église catholique et pour la société en général.
Le livre de l'abbé Morel est toujours d'actualité aujourd'hui, car il aborde des questions importantes qui sont encore débattues aujourd'hui, telles que le rôle de l'Église dans la société et la relation entre la religion et la politique.
Somme contre le catholicisme libéral (Tome 1)
Abbé Jules Morel
Ce premier tome, publié en 1876, compile des articles de l’abbé Morel parus dans L’Univers. Il attaque le catholicisme libéral, accusé de trahir la foi en s’adaptant aux idées modernes. L’auteur condamne les principes révolutionnaires de 1789 et des penseurs comme Lamennais. Il défend la doctrine catholique traditionnelle, s’appuyant sur les encycliques papales. Destiné aux clercs et aux fidèles, il vise à protéger l’orthodoxie. Le texte, incisif, analyse les dangers du libéralisme pour l’Église. Ce volume ouvre une série dénonçant les erreurs contemporaines. Il s’inscrit dans la lutte contre la sécularisation croissante.
Somme contre le catholicisme libéral (Tome 2)
Abbé Jules Morel
Ce second tome, publié en 1876, poursuit la critique de l’abbé Morel contre le catholicisme libéral. Il dénonce les compromis avec les idées modernes, accusant les libéraux de diluer la foi catholique. L’auteur cible les notions de liberté religieuse et de sécularisation, jugées contraires à la doctrine. S’appuyant sur les enseignements papaux, il défend l’autorité de l’Église face à l’État. Le texte, incisif, s’adresse aux clercs et aux laïcs engagés. Il analyse des cas historiques pour illustrer les dérives libérales. Ce volume intensifie l’argumentation du premier tome. Il vise à rallier les fidèles à l’orthodoxie traditionnelle.
Le modernisme, sa position vis-à-vis de la science, sa condamnation par le pape Pie X
Cardinal Désiré-Joseph Mercier
Écrit en 1909 par le cardinal Mercier, archevêque de Malines, cet essai défend la condamnation du modernisme par Pie X (Pascendi, 1907). Il critique l’adaptation des dogmes à la science moderne, perçue comme une menace pour la foi. L'Abbé Mercier argumente que le modernisme dénature la révélation en la soumettant à la raison humaine. Il soutient l’autorité de l’Église face aux idées progressistes. L’ouvrage est un pilier de la réaction antimoderniste.
La doctrine de Léon XIII contre le libéralisme et la démocratie
Charles Belin (Aventino)
Ce livre explore la pensée politique et doctrinale du pape Léon XIII, en particulier son opposition marquée au libéralisme et à certaines formes de démocratie moderne. L’auteur montre comment Léon XIII distingue la vraie autorité, fondée sur l’ordre naturel et divin, des systèmes politiques détachés de Dieu. Il insiste sur la nécessité d’un pouvoir qui reconnaît la primauté de l’Église et de la loi morale. L’ouvrage critique vivement les principes d’autonomie individuelle et de souveraineté populaire absolue. Il met en lumière la vision hiérarchique et organique de la société défendue par Léon XIII. L’analyse vise à réhabiliter une doctrine catholique jugée incompatible avec les courants modernes. L’auteur dénonce l’influence corrosive du rationalisme et du subjectivisme politique. Enfin, il appelle à un retour à une civilisation chrétienne guidée par la vérité révélée et la loi naturelle.
La Souveraineté du peuple est une hérésie
Charles Maignen
Dans cet ouvrage percutant, l'auteur démonte méthodiquement l'idée moderne selon laquelle la souveraineté politique réside dans le peuple. Il rappelle que l'autorité véritable vient de Dieu, et non d’un consensus humain changeant. En analysant les fondements du droit divin et de la hiérarchie naturelle, il montre que la démocratie moderne nie l'ordre voulu par le Créateur. Il explore les conséquences sociales et religieuses de cette erreur, qu’il qualifie d’hérésie politique. L’auteur s’appuie sur la tradition catholique et les papes pour justifier ses positions. Il dénonce aussi l’immixtion de l’Église dans des formes de gouvernement contraires à son essence. L’œuvre est un appel à restaurer la royauté du Christ dans la sphère politique. Elle s'adresse à tous ceux qui cherchent une lumière catholique sur les questions d'autorité et de légitimité.
La doctrine sociale de l'Eglise d'après les encycliques de Léon XIII, Pie X, Pie XI, de 1891 à 1931
Charles Maignen
Cet ouvrage présente de manière détaillée les enseignements des papes Léon XIII, Pie X et Pie XI sur la doctrine sociale de l’Église, entre 1891 et 1931. Il explore les principes fondamentaux de la justice sociale, la dignité humaine, et le rôle de l’État, selon la perspective catholique. En s'appuyant sur les encycliques sociales, l’auteur met en lumière l’opposition de l’Église aux idéologies modernes, telles que le libéralisme, le socialisme et le matérialisme. Le livre souligne également la nécessité de défendre l’ordre naturel et divin face aux dérives des sociétés contemporaines. Il aborde des thèmes clés comme les droits des travailleurs, la famille, la propriété privée, et le bien commun. Le texte met en avant l’unité des papes dans leur défense de l’Église contre les menaces de l’époque. Enfin, l’auteur invite à une réflexion profonde sur la mission de l’Église dans la société moderne et son rôle dans la restauration de l’ordre chrétien. Un ouvrage essentiel pour comprendre la pensée sociale de l’Église au XXe siècle.Cette doctrine où la trouver plus sûrement que dans les encycliques et les enseignements authentiques des Papes ? De l'Encyclique Rerum novarum à l'Encyclique Quadragesimo anno, quatre Souverains Pontifes ont inculqué pendant quarante ans aux peuples modernes les principes immuables sur lesquels repose la société humaine et les règles fondamentales dont les hommes ne doivent jamais s'écarter dans leurs rapports entre eux.
Les religions laïques, un romantisme religieux
Dom Jean-Martial Besse
Dans cet ouvrage profond, Dom Jean-Martial Besse étudie la montée des idéologies modernes qui, sous des apparences de progrès et d'émancipation, s'érigent en véritables "religions laïques". L’auteur montre comment le romantisme, en détournant l'élan religieux naturel de l'homme, a nourri des doctrines politiques et sociales aux allures messianiques. À travers une critique claire et pénétrante, il dévoile les faiblesses spirituelles de ces systèmes qui promettent un salut terrestre illusoire. Le livre invite ainsi à reconnaître la primauté de la vraie foi face aux faux absolus modernes.
Le libéralisme est un péché
Don Sarda Y Salvany
Dans ce célèbre ouvrage, Don Sardà y Salvany expose avec force la nature perverse du libéralisme, qu’il définit comme l'affirmation de l'indépendance absolue de l’homme face à Dieu et à son Église. Il démontre que cette doctrine, en niant l’autorité divine, mine les fondements mêmes de la société chrétienne. S'appuyant sur l'enseignement des papes, il condamne toute tentative de compromis entre la vérité catholique et les erreurs modernes. Le livre est un appel clair à la fidélité intégrale à la foi, sans concessions aux idées libérales qui détruisent les âmes et les nations.
Le mal social (Tome 1)
Don Sarda Y Salvany
Dans "Le mal social", Don Sardà y Salvany analyse avec profondeur les causes spirituelles et morales de la crise de la société moderne. Il démontre que l'abandon de la foi catholique, la montée de l'orgueil et de l'individualisme sont les racines véritables des désordres sociaux. Refusant les solutions purement humaines, il affirme que seule la restauration de la royauté du Christ peut guérir les plaies du monde. Cet ouvrage prolonge sa critique du libéralisme en soulignant l'urgence d'un retour à l'ordre chrétien authentique.Ne portez point vos regards au loin, et que votre imagination n'aille point s'égarer dans des régions inexplorées; ici même, dans votre patrie, dans votre province, dans votre propre localité, vous trouverez des faits sur lesquels vous pourrez baser votre réponse. Qu'il prenne la parole celui qui osera déclarer que tout va bien ; ou mieux qu'il se montre, afin que nous voyions tous si ce mensonge ne le fera pas rougir de honte. Et comment pourrez-vous tenir ce langage, si chaque jour, à chaque heure, à chaque instant, vous reconnaissez et déclarez le contraire ?
Le mal social (Tome 2)
Don Sarda Y Salvany
Dans ce second tome du Mal social, Don Sardà y Salvany poursuit sa dénonciation magistrale des racines spirituelles de la décadence moderne. À travers une analyse claire et sans concession, il montre comment les idéologies modernes — libéralisme, sécularisme, relativisme — corrompent l’ordre social chrétien. Fidèle à la doctrine de l'Église, l'auteur éclaire le rôle central de la foi dans la restauration d'une société juste et véritablement humaine. Ce livre est un appel puissant à résister aux erreurs contemporaines et à bâtir sur le roc de la vérité catholique.
Le mal social (Tome 3)
Don Sarda Y Salvany
Dans ce troisième tome du Mal social, Don Sardà y Salvany achève sa réfutation des erreurs libérales en montrant leurs conséquences dramatiques sur l’ordre politique et religieux. Fidèle à l’enseignement de l’Église, il rappelle que seule la soumission aux vérités divines peut garantir la justice et la paix véritables. L’auteur exhorte les catholiques à ne pas transiger avec l’erreur et à défendre avec courage la royauté sociale du Christ. Ce tome est un appel vibrant à restaurer la société chrétienne sur ses bases surnaturelles.
Le Christianisme et la Libre Pensée
Édouard Haus
Dans cet ouvrage percutant, Édouard Haus confronte les prétentions de la libre pensée moderne à la lumière de la vérité chrétienne. Il démontre que loin d’être un progrès de l’intelligence, la libre pensée conduit à l’égarement et à la destruction des fondements moraux de la société. Fidèle à la tradition de l’Église, il expose les contradictions internes du rationalisme et rappelle que seule la Révélation offre à l’homme une voie certaine vers la vérité et la vie. Un plaidoyer vigoureux pour la fidélité à la foi catholique face aux illusions modernes.
Essai sur le catholicisme, le libéralisme et le socialisme
Juan Donoso Cortés
Dans Essai sur le catholicisme, le libéralisme et le socialisme, Juan Donoso Cortés livre une analyse magistrale des bouleversements politiques et sociaux de son temps. Il démontre que le libéralisme est un compromis incohérent entre la vérité catholique et l'erreur révolutionnaire, et que le socialisme en est la conséquence logique. Pour Donoso Cortés, seule la foi catholique, dépositaire de la vérité absolue, peut offrir à la société un fondement stable et juste. Il fustige les illusions du rationalisme et du naturalisme, dénonçant l'orgueil humain qui refuse la soumission à Dieu. Ce livre puissant est à la fois un acte de foi et un avertissement prophétique contre les dérives modernes.
Un texte fondamental pour comprendre la crise spirituelle et politique de l’Occident.
L'illusion libérale
Louis Veuillot
Dans L'illusion libérale, Louis Veuillot démonte avec vigueur les prétentions du libéralisme à concilier la foi catholique avec les principes modernes d'autonomie individuelle et de tolérance absolue. Selon lui, le libéralisme est une trahison déguisée, sapant de l’intérieur l’autorité de l’Église et la souveraineté divine. Par des arguments clairs et incisifs, il montre que vouloir adapter la foi aux modes du siècle, c'est en ruiner la substance. Refusant tout compromis, Veuillot appelle les catholiques à la fidélité sans faille à la vérité révélée.
Son livre reste un appel brûlant à la lucidité et au courage dans un monde gagné par la confusion.
Les libres penseurs
Louis Veuillot
Dans Les libres penseurs, Louis Veuillot dénonce avec une ironie tranchante les prétentions des rationalistes et des anticléricaux du XIXᵉ siècle. Sous couvert de liberté de pensée, ces derniers propagent en réalité une intolérance masquée contre la foi chrétienne. Veuillot révèle que cette « libre pensée » est souvent une soumission aux modes et aux passions du monde. À travers des portraits mordants et des analyses fines, il démonte les sophismes des ennemis de l'Église. L'ouvrage est une défense vive et courageuse de la vérité catholique face aux attaques modernistes.
Du modérantisme ou, de la fausse modération
Luigi
Ce traité du jésuite Luigi Taparelli d’Azeglio démonte les illusions du modérantisme politique, cette posture qui, sous couvert d’équilibre, dilue la vérité catholique. L’auteur y montre que la fausse modération est souvent pire que l’extrémisme, car elle affaiblit les principes en prétendant ménager toutes les erreurs. Le « juste milieu » devient alors un renoncement à la clarté doctrinale. Taparelli affirme que seule la vérité, défendue sans crainte, peut produire une paix authentique. L’ouvrage est un manifeste contre le relativisme sous couvert de sagesse politique. Il met en lumière l’incompatibilité entre foi catholique et neutralité idéologique. Une œuvre puissante de philosophie politique au service de la vérité. Elle conserve une étonnante actualité dans un monde qui prêche l’indifférence comme vertu.
Les cahiers de 89 ou les vrais principes libéraux
Léon de Poncins
Léon de Poncins s’attaque ici à la légende des « bons principes » issus de la Révolution française. Selon lui, les cahiers de doléances de 1789, souvent présentés comme empreints de sagesse populaire et de modération, dissimulent en réalité les germes du libéralisme destructeur. Il y dévoile le glissement progressif des esprits vers une pensée subversive, incompatible avec l’ordre chrétien. L’ouvrage met en lumière la manipulation des concepts de liberté, égalité et souveraineté. Il démontre que ces principes sont viciés dans leur fondement même, car détachés de Dieu. À travers une lecture critique et documentée, de Poncins réhabilite l’ordre social chrétien face aux mythes modernes. Un ouvrage capital pour comprendre l’origine des erreurs contemporaines.
La Démocratie chrétienne
Mgr Henri Delassus
Mgr Henri Delassus s’élève avec vigueur contre la démocratie chrétienne, qu’il considère comme une tentative malavisée de concilier la foi catholique avec les principes révolutionnaires. Il démontre que cette idéologie repose sur une confusion entre égalité évangélique et égalitarisme social. Delassus analyse les conséquences politiques et religieuses de cette dérive, qui mène à affaiblir l’autorité, l’ordre naturel, et le magistère. Il voit dans la démocratie chrétienne un cheval de Troie du modernisme dans l’Église. Avec clarté et fermeté, il rappelle que le seul fondement légitime d’un ordre politique chrétien réside dans la royauté sociale du Christ. Loin d’un plaidoyer pour la théocratie, son propos vise à restaurer l’harmonie entre société et foi. Un texte essentiel pour comprendre les illusions du catholicisme libéral.
Où allons-nous ?
Mgr Jean-Joseph Gaume
Dans cet ouvrage percutant, Mgr Gaume sonne l’alarme face à la désorientation morale et spirituelle du monde moderne. Il y dénonce avec force les causes profondes de la déchristianisation : l’éducation sans Dieu, l’influence néfaste de la Révolution française, le culte du progrès sans foi et l’infiltration du libéralisme dans l’Église elle-même. L’auteur pose une question essentielle : que devient une société quand elle se détourne de Dieu ? Avec un langage vigoureux, nourri de tradition et de doctrine, il exhorte les catholiques à résister à l’esprit du siècle. Un appel prophétique à la fidélité dans la tempête.
Où en sommes-nous ?
Mgr Jean-Joseph Gaume
Dans ce second volet de son œuvre de dénonciation des erreurs modernes, Mgr Gaume dresse un constat lucide et dramatique de la société de son temps. Il y expose les conséquences concrètes de l’abandon des principes chrétiens : confusion morale, effondrement de l’autorité, prolifération des erreurs philosophiques et sociales. À travers une démonstration rigoureuse et passionnée, il montre comment la négation de Dieu engendre la désorganisation sociale. Son appel est clair : il faut revenir à la foi catholique intégrale, seule capable de restaurer l’ordre et la civilisation. Une œuvre puissante et profondément actuelle.
L'Encyclique 'Libertas' et les principes de 89
Mgr Justin Louis Pierre Fèvre
Dans cet ouvrage de combat, Mgr Fèvre commente avec clarté et érudition l’encyclique 'Libertas' de Léon XIII, qui condamne les conceptions modernes et erronées de la liberté. Il y confronte les « principes de 89 » — liberté absolue, égalité sans Dieu, souveraineté populaire — à la doctrine catholique authentique. Loin d’une analyse purement théorique, l’auteur en montre les conséquences concrètes sur les lois, l’éducation, et l’ordre social. Son plaidoyer pour une liberté soumise à la vérité divine reste d’une brûlante actualité dans nos sociétés désorientées.
Les Impossibilités, ou les libres penseurs désavoués par le simple bon sens
Mgr Pierre-Louis Parisis
Dans cet ouvrage incisif, Mgr Parisis démonte méthodiquement les contradictions des idées modernes, en particulier celles portées par les libres penseurs.
Refusant de s’engager dans des querelles érudites, il fait appel au simple bon sens pour montrer l’impossibilité de concilier l’athéisme, le relativisme moral et le rejet de l’Église avec une société stable et cohérente.
Il y répond à la prétention des modernes d’avoir remplacé Dieu par la raison humaine, affirmant que cette prétendue autonomie mène au chaos intellectuel et moral.
L’auteur oppose la solidité des principes catholiques à l’édifice branlant des idéologies nouvelles. Son ton vif, à la fois pastoral et polémique, vise à réveiller les consciences.avons pas recours.
Non, nous n'admettons pas le doute, et nous répétons que pour tout homme de bon sens et de bonne foi ce doute est impossible.
Nous prétendons, comme Chrétiens Catholiques, avoir avec nous toute lumière et toute certitude, et nous soutenons que nos adversaires ont avec eux toutes les incertitudes et toutes les obscurités.
La synthèse du modernisme
Père Julien Fontaine
Ce livre offre une synthèse percutante des doctrines modernistes condamnées par le pape Saint Pie X dans 'Pascendi'.
Le Père Fontaine y met en lumière l’esprit d’autonomie, de relativisme doctrinal et de subjectivisme religieux qui traverse les écrits modernistes, qu’il considère comme une véritable entreprise de démolition de la foi.
Il montre comment ces idées dissolvent la Révélation, déforment la notion de dogme et substituent à l’Église visible une « Église de conscience » coupée de toute autorité.
L’ouvrage dénonce les compromissions intellectuelles et spirituelles du modernisme, tout en appelant au retour à la vérité révélée et à la Tradition vivante.
Il s’adresse aux catholiques désireux de comprendre et de combattre l’erreur moderne dans ses fondements les plus profonds.
M. Loisy et le modernisme
Révérend Père Marie-Joseph Lagrange
Ce livre est une réfutation rigoureuse des thèses modernistes défendues par Alfred Loisy, théologien influent mais controversé du début du XXe siècle. Le Révérend Père Lagrange, dominicain et bibliste de renom, y démontre la rupture de Loisy avec la tradition doctrinale catholique, en particulier sur l’autorité de l’Écriture, la nature de la Révélation et l’institution de l’Église. L’ouvrage met en lumière la méthode historico-critique poussée à l’extrême, que Loisy utilise pour relativiser les dogmes. En réponse, Lagrange développe une critique équilibrée qui respecte les apports de l’histoire tout en affirmant la vérité surnaturelle de la foi. Il replace les textes dans leur contexte sans renier leur inspiration divine. L’auteur dénonce aussi les conséquences philosophiques du modernisme, qui tend à dissoudre le surnaturel dans le sentiment religieux. Ce texte se veut un appel à la fidélité doctrinale, appuyé sur l’intelligence de la foi et la rigueur théologique.