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La révolution et l'ordre chrétien

Auguste Nicolas

La révolution et l'ordre chrétien

Je terminais mon précédent écrit, L'État sans Dieu, par cette note : « D'après l'accueil qui sera fait à cet écrit, et si les temps le permettent, nous essayerons de dire, dans un second, les raisons de craindre et les raisons d'espérer, en précisant les moyens de salut.»
C'était là un redoutable engagement. Il a pu être taxé de présomption ; et cependant il a été inspiré par un tout autre sentiment : l'abattement ressenti à la vue d'un si grand mal, et l'obligation de ne pas y laisser le lecteur après l'y avoir plongé par cette désolante vue.

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